En tant que bras droit de l’homme, le Monthabor permet aux agents des capitaineries de guider, dans le port, les navigateurs plaisanciers jusqu’à leur place, sans avoir à utiliser eux-mêmes un bateau. En plus de permettre un contrôle du plan d’eau, il offre la possibilité de procéder au pointage des places, permettant de connaître facilement l’organisation du port de plaisance. Le Monthabor contribue ainsi à la limitation de l’usage du bateau de la capitainerie, réduite à sa stricte nécessité, à savoir, le déplacement d’un agent pour l’assistance physique à un plaisancier. Le drone offre une grande économie de temps, une diminution de la consommation d’essence, de l’empreinte carbone et des nuisances sonores.
Si les drones nautiques de surface (USV : Unmanned Surface Vehicle) ne sont pas nouveaux, le drone de plaisance Monthabor se différencie par ses multiples fonctions pour l’assistance aux capitaineries des ports de plaisance. En plus de sa facilitation de gestion, ses technologies d’électronique embarquées permettent aussi un contrôle des fonds pour la surveillance de la montée des sédiments, la mesure de la qualité d’eau, le ramassage des déchets flottants – notamment grâce à ses filets – et son rechargement et rinçage automatique auprès de sa station flottante.
« C’est le fruit de notre petite expérience de navigation, en plaisancier peu aguerri et pas toujours à l’aise en manœuvre. Monthabor est né du manque d’accompagnement, quand il n’y a pas toujours assez de personnel pour montrer la place en arrivant dans un port inconnu. On s’est dit, pourquoi pas un drone pour accompagner d’un point A à un point B. En utilisant un drone électrique plutôt qu’un zodiac, on diminue la consommation de carburant et l’empreinte carbone » Christophe Martin, co-fondateur de la start-up.
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